Il est possible d'apprendre de multiples façon : Les plus courantes sont bien souvent celles qui conduisent à une mémorisation bien peu utilisable dans le temps

On peut répéter, écrire, copier, répéter encore et encore pour enregistrée une information. Cependant les neurosciences ont prouvé que ce mécanisme énergivore en temps et en énergie n'apportait que peu de résutat dans la durée.

Un moment intense émotionnellement peut fixer une information également, mais nous vivons pas de tels moments au long court et ceux-ci bien souvent ne dépendent pas de notre volonté.

Pour apprendre durablement les sciences cognitives ont mis en avant quelques principes en expliquant le fonctionnement du cerveau pour apporter des éléments concrets expliquant l'intérêt de ses pratiques. De nombreuses expériences sont également conduite pour vérifier sur des échantillons de personnes la validité des propos.

Les connaissances évoluent rapidement et certaines viendront invalidées peut-être un jour quelques éléments sans toutefois tout remettre en cause.

On peut donc s'intéresser fortement à celle-ci et garder l'esprit ouvert pour les nuances qui viendront enrichir nos connaissances.

La première des choses à savoir pour apprendre est qu'une donnée pour être fixée doit se lier à une déjà existante (une connaissance solidement fixée).

Apprendre c'est connecter, tisser un lien entre des informations.

Ce chemin devra ensuite être consolidé en étant utilisé plusieurs fois dans un laps de temps proche de l'apprentissage pour que la trace crée ne s'efface pas (la réactivation).

Réactivation et pas simplement répétition car on fait appel à une réflexion on essaye de se souvenir en s'aidant si nécessaire au début d'un indice évocateur pour faciliter le rappel.

Cette réactivation va ensuite être étalée dans le temps avec des espacements entre les rappels de plus en plus long (réactivation expansée).

La courbe de l'oubli d'EBBINGHAUS explique bien se procéder.

Pour résumer un encodage puissant et une organisation des réactivations dans le temps en différenciant réactivation et simple répétition.

On insiste encore sur la qualité d'une solide base de connaissances pour servir d'accroches aux nouvelles informations à mémoriser et ceci quel que soit leur thématique qu'elle soit proche ou totalement éloigné (une connaissance en histoire peut aider à mémoriser une en science et inversement).

Une fois le chemin (lien entre les connaissances) suffisamment solide il faudra l'entretenir en l'empruntant parfois pour qu'il reste accessible.

En approfondissant une donnée (en lui apportant de multiples précision), une déviation peut être crée par la suite rendant le premier chemin construit inutile (celui-ci disparaitra petit à petit, mais sera facile à remettre en service si besoin).

Les réactivations peuvent être naturelle (sans notre intervention juste par nos lectures, nos interactions sociales ou autres) ou volontaire pour le plaisir d'apprendre sachant tous les bienfaits de cette activité primordiale à notre bienêtre.

Au début d'un apprentissage il faut être actif en provocant volontairement les réactivations pour enclencher tout le processus d'une mémorisation durable.

Lire un commentaire (un approfondissement au bas d'une fiche question) n'est pas suffisant si l'on souhaite apprendre. Il faut un travail actif en se posant une ou des questions sur le texte avant d'essayer d'y répondre plus tard sans relire le texte bien sûr. La création d'un indice évocateur est alors utile pour aider l'encodage (la première empreinte, le premier raccordement) et aider également si besoin les premières réactivations.

En enrichissant la connaissance (en lui apportant des précisions donc des nouveaux liens) la première donnée deviendra très facile à évoquer.

Solidement fixé celle-ci sera une base d'accroche opérationnel pour de nouvelles données.

Une fois les mécanismes mis en place il sera très facile de retenir ce que l'on souhaite sans trop de difficultés.

Il est important de donner du sens à ce que l'on fait pour le cerveau nous soutienne dans nos apprentissages.

Il n'est pas nécessaire d'aimer la matière ou le professeur. Il suffit juste de se dire que le cerveau saura quand utiliser cette connaissance sans forcément nous le dire d'ailleurs.

La citation de NELSON MANDELA est magique pour le MEMO-RING

"JE NE PERD JAMAIS SOIT JE GAGNE SOIT J'APPREND"

Ici retenir la citation est beaucoup plus facile si l'on connait le personnage qui a été le premier président noir en Afrique du Sud. Savoir qu'il a été emprisonné politiquement pendant des années sans jamais perdre confiance et qu'il a œuvré pour la réconciliation entre les noirs et les blancs pour en finir au mieux avec l'apartheid...

Voilà le principe de l'enrichissement de la connaissance on crée des liens supplémentaires rendant facile l'accroche de nouvelles connaissances.

On utilise ce que l'on sait déjà pour fixer ce que l'on veut apprendre.

Nos principales fonctions cognitives (COMPRENDRE, REFLECHIR, MEMORISER, CREER) s'appuient toutes sur la même fondation : Notre capital de connaissances de base.       

Pour comprendre le cerveau utilise ce qu'il connait déjà pour donner du sens à ce qui lui est présenté.

Pour réfléchir le cerveau utilise différentes propositions qui lui sont faites par nos connaissances en ne se laissant pas aspirer par la première qui lui traverse l'esprit (sans connaissances multiples la réflexion peut se trouver limité à très peu d'options).

Pour apprendre le cerveau relie ce que l'on souhaite apprendre à ce que l'on sait déjà. Des liens se créent entre les connaissances formant une toile interconnectée. Plus on a de connaissances plus il est facile de mémoriser une nouvelle information.

Pour créer il faut de la même manière des fondements solides pour faciliter ce processus qui se travail comme toutes nos fonctions cognitives.

La plasticité cérébrale (la réorganisation du cerveau en permanence) permet d'affirmer qu'il n'est jamais trop tard pour apprendre et développer des compétences dans différents domaines qui le moment venu nous sont utiles ou indispensables.

La maladie d'Alzheimer nous montre aussi que le cerveau a besoin d'être sollicité, des études ont montré que le fait d'apprendre pouvait ralentir fortement la dégénérescence  du cerveau. Jouer aux mot croisés ou au scrabble ne suffit pas.

Bien sur les interactions sociales sont d'une importance capitale. Jouer au MEMO-RING c'est créer du lien social plus plus.

MEMO-RING est l'outil idéal pour développer nos connaissances et renforcer les liens vers celle que l'on a déjà partiellement pour les rendre accessible et durable.

Une donnée solidement ancrée est un point d'attache qui à elle seule peut permettre l'accroche de mille autres (et ceci dans de multiples thématiques aussi proches que lointaines).

Créer un maximum de point de fixation pour faciliter nos apprentissages qu'elles qu'ils soient ainsi que pour garder opérationnel et fonctionnel toutes les capacités que nous confer notre cerveau.

Le MEMO-RING est un jeu de questions conçu pour développer les connaissances (obtenir un capital de base solide et obtenir des chemins d'accès rapides et efficaces vers les connaissances que l'on possède déjà pour les rendre utilisables).

Notre capital de connaissances de base est le support principal de nos fonctions cogitives.

La compréhension, la réflexion, la mémorisation et la créativité sont toutes dépendantes de notre capital de connaissance de base (celui qui est réellement accessible avec des liens solides entre les connaissances).

Le jeu est inspiré des sciences cognitives (fonctionnement du cerveau pour apprendre mémoriser plus facilement en gagnant du temps et de l'énergie).

Le jeu comporte un volet stratégie pour rendre les parties dynamiques avec une interaction continue entre les joueurs. Créateur de lien social entre les générations le jeu plait aux plus jeunes en leur montrant que les anciens sont resté de en fait des grands enfants.

On joue en permanence finit les attentes interminables entre deux joueurs, comme sur le ring le combat nécessite des connaissances et de la stratégie pour s'adapter en permanence à nos adversaires.

Le MEMO-RING permet de jouer avec des questions accompagnées d'un indice évocateur pour amener une réflexion visant à créer des liens entre nos connaissances (base du fonctionnement du cerveau pour rendre une connaissance accessible).

Le but des indices évocateurs est d'inciter les joueurs à évoquer leurs propres indices pour faire deviner la réponse aux joueurs adverses. En réalisant cette réflexion ceux-ci apprennent également la réponse ou développe des nouveaux liens vers celle-ci pour la renforcer. 

Le MEMO-RING ne joue pas avec les questions à choix multiples qui trompent notre capacité à différencier ce que l'on sait réellement de ce que l'on croit savoir pour l'avoir entendu, vu ou lu (une simple trace sans lien pour activer cette connaissance et la rendre accessible).

Le MEMO-RING permet de s'entrainer en utilisant la boite "KO" qui est utilisée pour collecter les fiches questions du jeu et permettre leur réactivation dans notre quotidien en quelques minutes seulement en solo ou à plusieurs selon nos possibilités.

En utilisant la boite "KO" on va pouvoir approfondir nos connaissances en lisant les commentaires situés au bas des fiches et en cliquant sur les Q/R code qui seront bientôt accessible en fonction du développement du jeu pour des compléments visant à enrichir nos connaissances.

On va pouvoir utiliser également ces commentaires pour créer des nouvelles questions et venir compléter celle du jeu. La créativité est un puissant levier pour apprendre.

Le jeu est donc évolutif, chacun peut y amener son univers en créant des questions et en jouant avec celles crées par ses amis ou sa famille. Ambiance assurée l'imagination de certains est parfois déroutantes...

Encodage, réactivation, approfondissement, créativité et émotions par la pratique du jeu. Tout est réunis pour que le MEMO-RING ne reste pas au fond du placard et surtout qu'il vous apporte en jouant ce qui parait essentiel lorsque l'on joue à un jeu de questions (des connaissances et parties interactives avec une infinie rejouabilité).